Marchands de tapis
Je n’aurais jamais pensé passer un moment si intéressant avec les marchands de tapis de Chicken street, comme son nom ne l’indique pas, la rue des boutiques d’artisanat de Kaboul.
Chicken Street et ses tapis dans la rue
Pendant près de deux heures, on a été plongés dans l’univers des tapis : Les grandes familles de tisserands, les villes les plus connues pour leurs tapis en Asie centrale, les différents styles de tapis, les couleurs, les motifs, l’âge des tapis, leur valeur, la chasse aux vieux tapis pour un marchand.
Le vieux marchand et son fils ne sont pas que des vendeurs, ce sont des passionnés.
Forcément on a fini par acheter des tapis (on était venus pour ça aussi), pas un simple tapis, un tapis avec une vraie histoire.
« C’est bien maintenant on a les tapis mais pas de maison pour les mettre ! » Je plaisante avec le marchand.
« Un homme achète d’abord ses tapis et bâtit sa maison autour » nous dit le vendeur.
Alors paroles de passionnés ou de marchands de tapis ?
Pour comprendre pourquoi il y a des tapis au milieu de la route...